Introduction
Imaginez vous, fier paladin servant le roi Arthur, participer à une bataille pour la défense d'un pont fortifié menant à un intérêt vital de votre royaume face à des barbares sanguinaires. Vous remerciez la Lumière de vous avoir permis d'acheter à prix d'or à un marchand reconnu un bouclier fabriqué par un des meilleurs artisans du royaume, puisque celui-ci vient de vous permettre de bloquer l'attaque qu'un troll vous dominant d'un bon mètre destinait à l'une de vos compagnons, une mage fragile, qui, profitant de votre intervention, lance une gigantesque boule de feu sur les assaillants. Alors que vous êtes encerclés, vous vous jurez que si vous survivez, vous repasserez à cette si bonne auberge demander à un ménestrel de composer un chant en votre honneur, et vous payerez sans doute un banquet où vous inviterez vos amis. Et puis, parce qu'il serait bête de mourir sans l'avoir vu, vous vous enfoncerez, accompagné de votre alliance, dans les profondeurs des marais pour débusquer le dragon qui terrorise nos campagnes. Mais le sinistre grincement des machines de guerres ennemies qui apparaissent à l'horizon vous arrache à vos rêveries, et vous entendez déjà les premiers boulets de catapultes siffler dans l'air…
Tout cela, vous l'avez déjà vécu, dans Diablo's Gate ou autre Neverwinter Wind. Mais dans Dark Age of Camelot, l'ensemble des personnages cités sont joués par des humains, comme vous, et non une intelligence artificielle. Le paladin, la mage, le pillard troll, le ménestrel et le fêtard, le marchand avide et l'artisan célèbre, l'ingénieur sadique aux terribles machines de guerre : des centaines de rôles, joués par des milliers de joueurs. Lorsque vous éteignez votre ordinateur, si votre personnage quitte bien (temporairement) ce monde de magie, il ne s'arrête pas pour autant, et, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, les aventures se poursuivent, avec ou sans vous. Dark Age of Camelot est en effet ce que l'on appelle un jeu de rôle massivement multi-joueurs à univers persistant.
Entouré par des milliers de joueurs, vous vous lierez rapidement d'amitié avec d'autres personnages et leurs marionnettistes, et constaterez que les communautés se créent et se défont selon les centres d'intérêt de chacun. Le monde est vaste, et les activités possibles innombrables. Petit à petit, vous le découvrirez en même temps que votre personnage, et gagnez tout deux en célébrités sur le long et dur chemin de héros, intégrerez une guilde et gérerez ses relations politiques, construisant de puissantes alliances.
Vous êtes vous déjà pris à rêver, au milieu d'une partie de Age of Warcraft, ce que pouvait ressentir ce combattant orc ou ce chevalier humain, au cœur d'une armée enchaînant mouvements stratégiques et combats tactiques ?
Une des spécificités de Dark age of Camelot (vous le connaissez bien désormais, appelez-le par son petit nom, DAoC) est justement de propose un combat permanent et de grande ampleur, une véritable guerre, entre trois royaumes différents. Gestion des armes de siège, des places fortes, des lignes de soutiens et des récompenses, tout est présent pour vivre, au cœur de la mêlée, un de ces personnages. Des maîtres de guerre (vous, peut-être ?) prennent la tête des opérations et définissent les points à attaquer à défendre, des chefs de groupe forment des escouades et s'y rendent en déterminant la tactique à adopter, et les combats s'engagent.
Mais le fier paladin et la puissante mage ne sont pas les seuls rôles que vous pourrez jouer en combat : 44 classes très diverses vous seront proposées, vous permettant de jouer un sage guérisseur maintenant en vie les forces du royaume, ou un lâche assassin se faufilant dans le dos de ses ennemis pour abréger leur vie, et profitant de ses talents de dissimulation pour informer des mouvements de troupe adverses.
A qui, d'Albion, de Midgard ou d'Hibernia, allez-vous jurer fidélité ? Les trois royaumes sont ennemis, et seule la guerre saura régler leur différents.
Albion l'Arthurienne, au Roi regretté et à la puissante (mais peu tolérante) Église de la Lumière, en proie aux troubles internes, et dont Camelot, la capitale, est en train de vivre son âge sombre ?
Hibernia la celte, peuplée de ces races magiques et elfiques, domaine de la nature et de la magie, mais minée par des rancœurs internes aussi anciennes que ses habitants ?
Midgard la nordique, terre des vikings et des trolls, adeptes de pillages sanglants et de barbarie, aux noirs secrets et à l'équilibre politique instable ?
Trois royaumes, trois ambiances, trois expériences uniques, dix-huit races, plusieurs milliers de joueurs simultanément par serveur : rejoignez le quart de million d'aventuriers parcourant les terres de Dark Age of Camelot !
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